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Author Archives: jfguillou1

1.1.1. Athènes au Ve siècle avt J.-C. : une démocratie directe mais limitée

1.1.1.1. La mise en place de la démocratie athénienne
1.1.1.2. L’exercice de la citoyenneté à Athènes au Ve siècle avant J.-C.
1.1.1.3. Les limites de la démocratie athénienne

1.1.1.1. La mise en place de la démocratie athénienne

Questions :

1. Pourquoi les réformes de Solon (-594) sont-elles considérées comme une première étape vers la démocratie ? Pourquoi cependant son régime politique est-il nommé « oligarchie » et non « démocratie » sur la frise chronologique ?

2. Quel est le but poursuivi par Clisthène lorsqu’il crée 10 tribus à Athènes ? Quelle autre mesure explique qu’on peut désormais parler de démocratie (depuis – 508) ?

3. Pourquoi Périclès instaure-t-il le misthos en – 454 ? Qu’est-ce que l’ostracisme et contre quel danger est-il institué ?

4. Comment interpréter le sens de la loi de « double filiation » 1 (- 451) : une limitation de la démocratie ou au contraire un renforcement de la démocratie ?

1 https://journals.openedition.org/mondesanciens/1242?lang=en


1.1.1.2. L’exercice de la citoyenneté à Athènes au Ve siècle avant J.-C.

D’autres estimations donnent des chiffres un peu inférieurs pour le nombre de citoyens :

Question :

Si l’on calcule la part des citoyens dans la population totale d’Athènes en 360 av.J.-C., on trouve (28 000 / 225 000) 12,5%. À titre de comparaison, ce pourcentage dans la France contemporaine est de 72 %. Comment expliquer cette différence ?

organigramme de la démocratie athénienne

5 questions :

>> Comment et par qui les lois sont-elles votées ? Comment ce pouvoir est-il qualifié ?

>> Qui est chargé de faire exécuter les lois ? Comment ce pouvoir est-il qualifié ?

>> Qui est chargé de vérifier le bon respect des lois. Comment ce pouvoir est-il qualifié ?

>> Pourquoi un cadre du tableau est-il coloré en rouge ?

>> La procédure de désignation par tirage au sort est-elle démocratique ? Comment la justifier ?


1.1.1.3. Les limites de la démocratie athénienne

Étude de document

Consigne :
Après avoir identifié et expliqué les différents arguments d’Otanès en faveur du choix d’un régime démocratique, faites de même avec ceux de Mégabyse en faveur du choix d’un régime oligarchique.


1.1.1.4. Le résumé

https://www.histoirealacarte.com/Grece-antique-monde-hellenistique/democratie-Athenes

leçon 1.0. La démocratie, les démocraties : quelles caractéristiques aujourd’hui ?

(manuel Hachette 1HGGSP – 2023)

1.0.2.3. Géopolitique du Moyen-Orient : un basculement majeur ?

J’ai évoqué ce sujet en cours lundi 25 septembre 2023. À lire une chronique du journal Le Monde daté du même jour. La version « abonnés » est disponible sur l’ENT / Mediacentre. Également en pdf téléchargeable : une version allégée de l’article.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/09/25/l-arabie-saoudite-n-est-plus-infeodee-aux-etats-unis-et-son-regard-est-desormais-tourne-vers-l-est-vers-la-chine-et-la-russie_6190835_3232.html

1.0.2.2. Géopolitique de la poigne de fer

en rouge les États dont il est question

Les régimes autoritaires se serrent la main (et aussi les coudes ?)

Chinese President Xi Jinping, right, shakes hands with Syrian President Bashar al-Assad before their bilateral meeting in Hangzhou, China, Friday, Sept. 22, 2023. China and Syria announced the formation of a strategic partnership. (Yao Dawei/Xinhua via AP) : une information intéressante quand on sait que le 1er partenaire de la Syrie depuis le début de la guerre civile en Syrie en 2011 est la Russie de Vladimir Poutine… Bachar al-Assad mettrait-il Chine et Russie en concurence ?

Turquie et Hongrie : une partie à jouer entre Occident et Russie ? Intéressant quand on sait que les principaux alliés de la Hongrie (pourtant membre de l’UE) sont la Russie et la Chine. Et que la Hongrie est historiquement opposée à la Turquie dans cette partie orientale de l’Europe…

Le président turc Erdogan et le président égyptien al-Sissi se serrent la main avec la bénédiction de l’émir du Qatar en marge de la Coupe du Monde au Qatar 2022. Intéressant quand on sait que la Turquie soutenait les islamistes égyptiens depuis le printemps arabe de 2011 et rêvait de rétablir son influence en Égypte après la chute du président Moubarak (dont le général al-Sissi est l’héritier…). Intéressant également quand on sait que la Turquie a besoin du soutien du Qatar et des monarchies du Golfe pour consolider son influence au Moyen-Orient.

Intéressant quand on sait que le protecteur historique de la Corée du Nord c’est la Chine. Kim Jong Un montre qu’il a d’autres alliés que la Chine (et « du coup » avec lui 2 des 5 membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU). Chapeau Kim !

La Russie, alliée de la Syrie, l’est aussi de l’Iran (bien que ce pays soit une république islamiste et que Poutine combatte les islamistes en Russie). C’est dans la continuité de la diplomatie soviétique : l’URSS combattait les islamistes en Afghanistan (1979-1989) mais s’était rapprochée de l’Iran car l’Iran, à la suite de la révolution islamiste de 1979, avait fait des États-Unis le « Grand Satan » : un point de vue géopolitique qui convenait bien aux soviétiques (Guerre froide) et qui va bien aussi à la Russie de Poutine. Une inquiétude toutefois pour Poutine : la Chine commence à jouer son propre jeu au Moyen-Orient en 2023, en favorisant par exemple un rapprochement entre les 2 pires ennemis du Golfe : l’Iran et l’Arabie saoudite…

un sacré coup de mains…

Le point commun de toutes ces mains ?

Elles dirigent des régimes autoritaires (pour ne pas dire des dictatures) et ne cachent pas leur intention de mettre fin à plusieurs siècles de domination occidentale (donc aussi aux droits de l’homme et à la démocratie). MAIS cela n’empêche des rivalités entre elles, bien au contraire.
À suivre…

1.0.2.1. Qu’est-ce qu’un régime autoritaire ?

1.0.2.1. L’exemple de la Chine de Xi Jinping

Version 2018 – référence pour l’Analyse
Version 2021 (+17′ intégrant les »années covid ») – Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.
Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Analyse :
(le minutage est celui de la version 2018)

1. IDÉOLOGIE

En quoi la comparaison du communisme chinois à une religion peut-être contraire à l’idéal démocratique ? 3’10 »-4’32 »

« document 9 » : quel est le régime à combattre selon Xi Jinping ? >> 7’03

Qu’est-ce que le « rêve chinois » ? Pourquoi est-il présenté comme une revanche ? Contre quelles puissances ? Quelles sont les conditions fixées par Xi Jinping pour l’accomplir ? En quoi ce « rêve chinois » est-il un projet « nationaliste » ? 20’36 »-23’52 »

2. ÉCONOMIE

Routes de la soie : en quoi ce projet prépare-t-il la victoire du système totalitaire chinois sur les démocraties occidentales ? Cette menace est-elle crédible (indiquez des faits précis dans votre réponse) ? Citez 2 démocraties européennes défendant les intérêts chinois en Europe ? 34’40 »-38’50 »

En quoi l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont-elles devenues des « laboratoires des méthodes d’infiltration chinoise en pays démocratique » ==> quelle est la méthode utilisée ? Et en Europe ? 39’00 – 42’10 »

3. ARMEE

Le rôle de l’armée dans un régime autoritaire de classe mondiale : un nouveau géant militaire apparaît sous nos yeux. Quels sont les objectifs fixés par Xi Jinping ? Sa stratégie fonctionne-t-elle contre les démocraties ? 50’16 » – 56’30 »

4. DIPLOMATIE

OCS (Organisation de Coopération de Shanghai) : quels sont les pays membres ? Qui sont ses adversaires ? Peut-on imaginer la fin des démocraties d’ici la fin du XXIe siècle ? 56’30 » – 01:01:35

5. NOUVELLES TECHNOLOGIES

Le « crédit social chinois » : en quoi ce nouvel outil permet-il d’affirmer que la Chine est un État totalitaire et pas seulement autoritaire ? Dans quelle mesure les démocraties occidentales sont-elles aussi concernées ? 01:07:35 –


1.0.2.2. L’exemple de la Russie de Poutine

Poutine : une menace pour les démocraties occidentales ?

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/11/ukraine-les-lignes-geopolitiques-que-la-guerre-a-deja-fait-bouger_6117130_3210.html

par Sylvie Kauffmann , 11 mars 2022 (version abrégée)

L’invasion russe a fait bouger les lignes géopolitiques :
L’Europe se réarme, Poutine plonge la Russie dans l’incertitude
et de nouvelles fractures apparaissent en dehors du bloc occidental.

Le retour de la guerre en Europe a un retentissement comparable à celui des attentats du 11-Septembre, ou de la chute du mur de Berlin en 1989. Cette nouvelle ère clôt les trois décennies de l’après-guerre froide (1991-2021).

Les conflits au XXe siècle se sont caractérisés par le souci des « deux grands » d’éviter un affrontement direct. Poutine remet tout cela en cause. La plupart des traités de contrôle des armements ont été abandonnés, et de nouvelles armes sont apparues sans faire l’objet d’aucune régulation.

L’offensive vise l’Ukraine mais se retourne aussi contre la Russie. Son économie est mise à genoux par les sanctions occidentales. Poutine détruit deux pays d’un coup. L’ampleur sans précédent des sanctions, financières, commerciales, économiques, technologiques, de l’Occident compromet durablement les progrès de l’économie russe et ses capacités d’innovation. L’occupation de l’Ukraine ruinera la Russie.

Poutine a lancé une offensive sur l’Ukraine pour l’empêcher de rejoindre le camp occidental, et stopper l’extension de celui-ci vers l’est. Mais cela pourrait produire l’effet inverse : réduire la sphère d’influence qu’il revendique pour la Russie. Non seulement l’Ukraine demande à adhérer à l’Union européenne (UE), mais elle est imitée par la petite Moldavie et par la Géorgie : trois anciennes républiques soviétiques.

A l’Ouest, cette crise a transformé l’Union européenne. Pour provoquer ce sursaut européen, il a fallu une agression armée menée à sa frontière par une puissance nucléaire, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Du jamais-vu depuis la seconde guerre mondiale.

A partir de novembre 2021, les États-Unis, et le Royaume-Uni ont répété que la Russie se préparait à envahir l’Ukraine. Incrédules, ni l’UE ni les autorités ukrainiennes ne les ont pris au sérieux. Lorsqu’ils ont fini par admettre que des préparatifs étaient en cours, ils se sont convaincus que, si agression il y avait, elle serait limitée.

Le réveil est brutal. Les Européens, avec les Etats-Unis et l’OTAN, à une vitesse inédite et avec une unité exemplaire, rompent avec 14 ans de complaisance pour M. Poutine, depuis l’invasion de la Géorgie en 2008, puis l’annexion de la Crimée et l’intervention dans le Donbass en 2014. Ils décident de sanctions massives contre la Russie et de l’aide militaire à l’Ukraine. Le « soft power » cède la place au « hard power ». Un pont aérien se met en place pour livrer des tonnes d’armes, d’équipements, de blindés et de missiles antichars à l’Ukraine.

En Allemagne, le virage est spectaculaire. Le pays ouvre les yeux sur sa faiblesse militaire et sa dépendance énergétique à l’égard de la Russie. Berlin renonce au gazoduc germano-russe Nord Stream 2. Le chancelier Scholz prononce un discours au Bundestag, aussitôt qualifié d’historique : les dépenses de défense seront portées à 2 % du produit intérieur brut (100 milliards d’euros).

De multiples dynamiques secouent l’Europe. Celle de l’élargissement à l’est de l’UE est potentiellement explosive alors que, dans les Balkans occidentaux, d’autres candidats s’impatientent. Une autre est celle du poids acquis par les pays orientaux de l’Union, en particulier la Pologne, qui tient sa revanche avec l’accueil exemplaire de plus de 1 million de réfugiés ukrainiens en dix jours.

Avec la guerre, la « souveraineté européenne » et « l’autonomie stratégique » prennent un sens très concret. A la différence de la guerre froide, durant laquelle les systèmes économiques étaient séparés, l’Europe dépend aujourd’hui de la Russie pour son approvisionnement en gaz. Paradoxe : tout en cherchant à étrangler l’économie russe, les Européens versent à Moscou 700 millions de dollars par jour pour payer leur gaz et leur pétrole. La décision de mettre fin à cette dépendance d’ici à 2027 aura des conséquences majeures sur leurs économies.

Autre changement en matière de défense, le Danemark a annoncé, après l’Allemagne, une forte hausse de son budget militaire. La Finlande et la Suède s’interrogent sur l’opportunité d’adhérer à l’OTAN.

Ainsi l’OTAN retrouve son sens : la défense collective de l’Europe. Sa coopération avec l’UE atteint un niveau inédit. Des milliers de soldats sont envoyés pour renforcer le flanc oriental de l’Alliance, dans les pays baltes, en Pologne et en Roumanie.

La Turquie tente de naviguer aussi adroitement que possible entre la Russie et l’Ukraine. Mais plus la crise dure, plus l’exercice sera inconfortable pour le président Recep Tayyip Erdogan. Il faudra choisir.

Les États-Unis reviendront-ils à une stratégie d’endiguement face à Moscou et, si oui, comment se conjuguera-t-elle avec la politique à l’égard de la Chine ? Washington doit aujourd’hui gérer non pas un mais deux adversaires, dans deux zones géographiques différentes.

Les sanctions occidentales, le découplage des économies russe et européennes et la fragmentation de la mondialisation vont logiquement favoriser un rapprochement entre la Russie et la Chine, qui va chercher à aider Moscou en l’intégrant dans le système de paiements international parallèle qu’elle essaie de mettre en place.

Loin de l’Ukraine, la Chine a désormais encore plus de cartes en main.


Consigne :

  • Soulignez ou surlignez en vert les informations contenues dans cet article montrant que la crise en Ukraine renforce la démocratie en Europe.
  • Soulignez ou surlignez en rouge les informations contenues dans cet article montrant que la crise en Ukraine affaiblit la démocratie en Europe.

1.0.1. Qu’est-ce qu’une démocratie ?

1.0.1.1. Une définition pour commencer
>>> définition : on visionne la vidéo Lumni une fois, et on essaie de répondre aux questions suivantes :

  1. Une monarchie peut-elle être démocratique ?
  2. Comment appelle-t-on un régime politique où le pouvoir est exercé par un petit nombre de personnes ?
  3. Qui forme le peuple dans une démocratie ?
  4. Quelle est la différence entre « démocratie directe » et « démocratie représentative  » ?
  5. Pour considérer qu’un régime politique est démocratique, citez 2 conditions nécessaires en plus du droit de vote exercé par les citoyens.
  6. Citez un exemple de pratique de démocratie participative dans la vie d’une démocratie contemporaine.
  7. Citez une ou plusieurs causes de la fragilité des démocraties actuelles.

LE + : des articles pour approfondir : https://www.lumni.fr/dossier/qu-est-ce-que-la-democratie

1.0.1.2. L’exemple de la Suisse

On répond aux questions suivantes :

  1. La Suisse est :
    1. une fédération
    2. une confédération

  2. En Suisse, le pouvoir est :
    1. centralisé
    2. décentralisé

  3. En Suisse, les personnalités politiques disposent de
    1. beaucoup de pouvoir
    2. peu de pouvoir

  4. La Suisse est une démocratie
    1. directe
    2. semi-directe
    3. représentative

  5. En Suisse, on considère que le souverain c’est
    1. le peuple
    2. le parlement
    3. le président

  6. En Suisse, les élections se font au scrutin
    1. proportionnel
    2. majoritaire

  7. En Suisse, il pratiquement impossible qu’un parti obtienne la majorité aux élections
    1. vrai
    2. faux

  8. En Suisse, le peuple peut contester une loi votée par le Parlement (les députés)
    1. vrai
    2. faux

  9. En Suisse, gauche et droite participent ensemble au gouvernement (les ministres)
    1. vrai
    2. faux

  10. En Suisse, on considère que chaque citoyen est responsable de son destin et ne doit pas tout attendre de l’Etat
    1. vrai
    2. faux

  11. Les Suisses, au nom de leur neutralité et de leur indépendance, sont très méfiants vis-à-vis des organisations internationales ou régionales : ONU, OTAN, UE
    1. vrai
    2. faux

  12. La Suisse est une fédération d’Etats appelés cantons ; ils sont au nombre de :
    1. 12 cantons
    2. 26 cantons
    3. 50 cantons

  13. En Suisse, la police est
    1. fédérale
    2. cantonale
    3. municipale

  14. En Suisse, l’organisation du système éducatif se fait à l’échelle
    1. fédérale (nationale)
    2. cantonale (régionale)
    3. municipale (locale)

  15. En Suisse, le gouvernement (pouvoir exécutif) est appelé :
    1. Conseil helvétique
    2. Conseil confédéral
    3. Conseil fédéral

  16. En Suisse, le pouvoir exécutif est élu
    1. au suffrage direct
    2. au suffrage indirect
    3. au suffrage censitaire

  17. Ce gouvernement est toujours composé de
    1. 7 membres
    2. 12 membres
    3. 26 membres

  18. En Suisse, le pouvoir exécutif (gouvernement) est
    1. fort
    2. faible

  19. Un pouvoir législatif bicaméral, cela signifie
    1. il est composé de 2 assemblées
    2. il partage son pouvoir avec le gouvernement
    3. il partage son pouvoir avec les cantons

  20. En Suisse, le peuple peut changer la Constitution sans passer par un vote du pouvoir législatif
    1. vrai
    2. faux

1.0.1.3. La démocratie : un système politique minoritaire dans le monde.

les régimes démocratiques = 45 % de la population mondiale
DONC MOINS DE 1 ÊTRE HUMAIN SUR 2 VIT DANS UN RÉGIME DÉMOCRATIQUE

1.0.1.4. Peut-on dire que la démocratie est en danger ?

ARTE – 15 septembre 2023 – À l’occasion de la journée internationale de la démocratie, Émilie Aubry s’entretient avec Dominique Reynié, politologue, professeur à Sciences Po et directeur de la Fondapol (la Fondation pour l’innovation politique). Ils proposent un tour du monde de la démocratie, de ses forces et de ses failles.

https://www.francetvinfo.fr/monde/norvege/la-democratie-est-en-recul-dans-le-monde-selon-une-etude_4955559.html

https://www.leprogres.fr/societe/2022/02/11/quels-sont-les-pays-les-plus-democratiques-et-les-plus-autoritaires

1.0.1.5. Donc en résumé :


Méthodologie pour le Grand Oral (1)

0.5. Un QCM pour terminer

https://forms.gle/dZeAcYfPHRE7R5dUA

et un politest :

0.4. Qu’est-ce que la science politique ?

= organisation politique d’une société
relations de pouvoir entre les institutions et les individus et l’État


Eric Cobast, directeur académique HEIP, professeur agrégé de l’Université, nous explique en quelques minutes ce qu’est la science politique.

Géopolitique de …

des sujets pour un oral de géopolitique (3′)
choisissez le vôtre ! sans perdre le nord

Géopolitique du couscous
Géopolitique du chocolat
Géopolitique de la vanille
Géopolitique de la banane
Géopolitique du café
Géopolitique de la tomate
Géopolitique de l’huile d’olive
Géopolitique du rugby
Géopolitique du sucre
Géopolitique du football
Géopolitique du cinéma
Géopolitique du fromage
Géopolitique du blé
Géopolitique du jeu vidéo
Géopolitique du jeans
Géopolitique du vin
Géopolitique de la bière
Géopolitique des épices
Géopolitique du dessalement d’eau de mer
Géopolitique du hamburger
Géopolitique du kebab
Géopolitique de l’eau
Géopolitique de la mode
Géopolitique des mondes magiques
Géopolitique du sable
Géopolitique de la déforestation
Géopolitique de l’obésité
Géopolitique de la voiture électrique
Géopolitique du panda